Et au 8eme épisode fut la révolution.
Temps d'écoute : 15'44''
Avec cette Chronique Ethique, si Zet conserve la trame des concepts, il vous propose de découvrir ou redécouvrir la pensée déterministe afin de prendre conscience de l'importance du conditionnement et de l'impact du système dominant. L'idée est de favoriser la réunion des facteurs permettant de (re)construire notre émancipation. Il s’agit alors de pouvoir prendre sa part non plus seulement individuelle (libéralisme) mais collective à la destruction des systèmes de domination en sortant de leur mystification.
Il y a actuellement une transformation de la lutte qui remet en cause le cadre dans lequel les dominants souhaitent nous enfermer : l’idéologisme. Le champs de la revendication politique prend davantage sa source dans le matérialisme, la réalité des vécus et des interactions. Elle ne peut plus être dépendante de l’idée d’un contrat social que finalement aucun·e n’a jamais signé puisqu’iel se l’est vu imposé à la naissance. La lutte change parce que la compréhension de la chose politique change.
Cette chronique se situe dans la même mouvance que le livre de Geoffroy de Lagasnerie (La conscience politique, Fayard 2019) qui vise à sortir des mythologies politiques. La lutte peut enfin commencer.
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Version lisible
Temps de lecture : 12'18''
Troll : « Tiens tu es encore là toi. »
Troll : « Ben oui je suis venu pour la chronique comme d'hab. »
Troll : « Comment ça pour la chronique mais ça continue ce truc là il avait pas fini. »
Troll : « Ah non non c'est parti pour durer son machin. »
Troll : « Et ça commence quand ? »
Générique.
Voix de robot : « Bonjour et merci d'être à l'écoute de chronique éthique. »
Troll : « On considère qu'il a dit bonjour la ? »
Troll : « Rah je sais pas... c'est délicat. Je te cache pas que c'est délicat. »
Dans les chroniques précédentes nous avons parlé de la construction des oppressions systémiques.
Et comme nous l'avions vu, bien que celles ci soient toute différentes en terme de modalité, elles découlent cependant des mêmes facteurs. Il y a pourtant certaines notions fondamentales dans cette architecture que nous n'avons abordé qu'en filigrane. Profitons donc de cette chronique pour apporter davantage de précision.
Et sans plus attendre voici la liste des sujets que nous allons développer :
1 le pouvoir.
Foule : « T'es le plus fort !! »
2 Le déterminisme.
Foule : « aller le déterminisme ! Tu peux le faire»
3 le choix.
Foule : « Vive le choix ! Faut que tu gagnes
4 la tolérance
Foule : « Je t'aime ! Toujours avec toi !
5 le libéralisme.
Foule : « bouh ! T'es nul ! Barre toi !
Et le gagnant est... ah ben non y a pas de gagnant ou de perdant apparemment on va parler de tout.
Capitaine méritocratie : « Cap'taine méritocratie à la rescousse ! Laissez moi faire le pouvoir c'est mon dada ! Le pouvoir c'est ce qui permet à chacun d'être libre et de faire ce qu'ils veut. C'est ce qui distingue les faibles des forts. C'est ce qui justifie la domination des méritants sur les parasites, Des bourgeois sur...»
Troll : « Nan mais il est sérieux lui ? »
Troll : « Houla c'est pas possible de dire des trucs pareils »
Fulbert Éthique : « Vous avez 7 nouveaux sophismes »
Troll : « Oh un peu de tolérance aussi tout le monde à le droit de s'exprimer »
Troll : « Je vais m'exprimer à coup de barre de fer sur tes genoux... »
Troll : « On n'est pas obligé d'en arriver là »
« Au secours à moi »
Antith Éthique : « Hahaha vous voyez à quoi vous mènent vos discussions stériles ?
Stop !
On va reprendre. Le pouvoir a plusieurs définitions. Les confondre c'est donc semer la confusion dans les discours. Pour l'instant on va s'intéresser au pouvoir dans le sens de puissance ou possibilité.
Troll : « Héhé ça va pas te plaire ça.
Troll : « Pourquoi ?
Troll : « Ben parce que ça veut dire qu'on va aller plusieurs fois dans la dimension lexicale
Troll : « Pas de souci faut juste que j'attrape mon casque avant qu'onnnnnnnnnaaaaaaahhhhh !!!!!!
Pouvoir :
Capacité naturelle et possibilité matérielle d'accomplir une action.
Autorité, puissance que détient une personne, moyens d'action de quelqu'un sur quelqu'un ou sur quelque chose. .
Le pouvoir c'est donc au moins 2 choses : Le fait d'avoir la capacité de faire quelque chose, et le fait de détenir une autorité. Dans le premier cas la contrainte est matérielle, nous n'avons donc pas d'autre choix que de nous y soumettre, tandis que la deuxième est de l'ordre de la croyance. Nous acceptons l'autorité de manière culturelle même si celle ci a été forgé par des contraintes matérielles. Dans les 2 cas notre puissance d'action est limitée que ce soit par les lois de la physique, incluant notre biologie, nos connaissances, et les pressions sociales organisée en pouvoir. On va donc parler de déterminisme.
Le déterminisme aussi c'est mon dada ! Je suis complètement pour le fait d'être déterminé. En tant qu’entrepreneur j'écrase la concurrence avec persévérance !
Troll : « Nan mais on parle pas de ça ! »
Troll : « C'est quoi le rapport ? »
Fulbert Éthique : « Je détecte 3 paralogismes »
Troll : « Mais qu'est ce qu'il fout encore là lui ? »
Antith Éthique : « Vous avez encore tellement a apprendre sur la neutralité »
Non le déterminisme ce n'est pas le fait d'être déterminé.
Troll : « Ben alors c'est quoi ? »
Troll : « Non mais t'es sérieux j'ai pas encore pu mettre mon caaaaaasque !!!!! »
Déterminisme : Principe scientifique d'après lequel tout phénomène est régi par une (ou plusieurs) loi(s) nécessaire(s) telle(s) que les mêmes causes entraînent dans les mêmes conditions ou circonstances, les mêmes effets.
En philosophie : Doctrine d'après laquelle les actions des être sentients sont, comme les phénomènes de la nature, soumises à un ensemble de causes extérieures.
Troll : « Rien compris »
L'idée c'est que rien n'échapperait aux lois de la physiques. Dans un système déterminé tout est cause et conséquence.
Troll : « Ah ouais je me rappelle que t'avais dit ça déjà »
Donc tout événement découle d'événements antérieurs et engendre à son tour d'autres événements. Pour faire une métaphore, prenons un dé.
Troll : « ça y est »
et lançons le.
Troll : « ah ben c'était bien la peine de le prendre »
Troll : « bon j'ai fait 2 »
Troll : « t'as fait de quoi ? Oh dis moi que c'est de la confiture de châtaigne... ou de cerise ! T'as fait de la confiote de cerise ? Eh les gars y a momo qu'a fait de la confiote de cerise !
Troll : « Nan j'ai fais 2 le chiffre »
Troll : « Fausse alerte ! Franchement c'est pas cool. »
Le résultat obtenu va dépendre de divers facteurs : la masse du dé, le nombre de faces, la force du jet, la résistance de l'air, la gravité, la surface de collision, l'angle du lancé... Si nous connaissions ces variables en amont avec précision, nous serions capables de prédire le résultat. Ce principe est le même pour tout phénomène répondant aux loi de la physique, c'est à dire tous les phénomènes connus jusqu'à présent à priori.
Troll : « Cool ! Du coup tu savais que j'allais faire 2 ? t'es un peu comme un voyant. Tu sais prédire l'avenir »
Non. Le déterminisme ne dit pas que nous sommes omniscient.e.s mais que tout événement est régit par des causes. Que nous soyons capable de les mesurer ou non ne change rien au fait qu'elles soient potentiellement mesurables. Je ne suis pas en mesure de savoir que tu as fait 2 mais les facteurs ont fait qu'aucun autre chiffre ne pouvait sortir.
Pour prendre un exemple si nous revenons 5 siècles en arrière, les orages étaient très souvent perçus comme des phénomènes divins. Nous n'étions pas capables de comprendre les mécanismes météorologiques en œuvre. Pourtant les orages existaient malgré tout. Que nous soyons en mesure de comprendre un phénomène n'a aucune incidence sur son existence.
Troll : « Quel rapport avec le pouvoir ? »
Eh bien ce qui marche pour le dé, marche pour nous aussi. Toutes nos actions sont régis par les mêmes lois de la physique et ce que nous pouvons faire est donc déterminé par des causes immuables.
Troll : « C'est n'importe quoi parce que si ce que tu dis est vrai alors on ne fait jamais de choix. Ça sert à quoi ?
Antith Éthique : « Moi Antith Éthique gardien de la neutralité, seigneur de l'opposition et maître des trolls. Je n'ai aucun sentiment et ne peut ni malheureusement ni heureusement apprécier votre désillusion face à la découverte de votre nature de structures organiques persuadées d'être au contrôle de leur existence. Rien ne vous distingue des machines, des plantes, de la roche ou des pieds de tabouret en terme de choix. Vous n'êtes que des pantins animés par des causes externent qui subissent leur environnement et leur biologie. «
Oui. Mais s'en tenir à cette vision serait réducteur. Ne pas avoir le choix ne signifie pas que nous ne prenons pas de décision. Nous prenons les décisions que nous sommes déterminés à prendre. Elles répondent à des causes. C'est bien ce qui fait que nous avons une influence sur notre existence. Bien sur nous ne changeons pas les conséquences mais nous faisons partie des causes qui nous déterminent. Penser que le cours des événements échappe à la volonté humaine est fataliste par définition. Or nos volontés existent.
Troll : « Un exemple un exemple un exemple ! »
Une personne fataliste devant passer un examen dira que de toutes façons la chaîne de causalité est immuable donc réviser ou ne pas réviser ne change rien.
Une personne existentialiste dira que réussir ou rater un examen dépend intégralement de soi.
et une personne déterministe pensera que pour réussir un examen, elle devra apprendre les connaissances permettant de le réussir et donc qu'elle devra réviser mais elle a conscience que d'autres facteurs entrent en jeu et que de toutes manières cette chaîne de causalité est immuable.
Troll : « Un exemple un exemple un exemple ! »
Bon, vous avez vu Matrix ? Quand l'oracle dit à néo tu as déjà fait ton choix, tout ce que tu as a faire c'est de le comprendre. Ben en gros c'est ça.
Zetétine : « dis t'avais promis qu'on parlerai de libéralisme. C'est quand t'en parle ? »
Ben t'es nouveau toi. Qu'est ce que tu fais ici tu t'es perdu ?
Zetétine : « Non, non. C'est juste que j'aime bien la philosophie, l'épistémologie tout ça. Et aussi y'avait des bonbons à l'entrée. Sûrement les restes d'Halloween »
Troll : « Bouhou ! Haha vous m'aviez oublié mais je suis de retour pour vous hanter ! Il fallait rire à mes blagues hahaha !... Eh je rigole . Oh c'est pour rire... pffff... aller c'est bon là j'en ai marre... »
Alors le libéralisme...
Capitaine méritocratie : « Haha ! Alors là ne me dite pas que c'est pas mon domaine ! Je suis le héro du libéralisme ! Le défendeur de la liberté ! Le justicier de la tolérance ! »
Je crois pas non.
Capitaine méritocratie : « Ah bon ? »
Ben non vois tu. La tolérance c'est...
Troll : « ah va y avoir une définition là. Passe moi mon casque steupléééééééé »
Tolérance : Au sens moral, la tolérance est la vertu qui porte à respecter ce que l'on n'accepterait pas spontanément, par exemple lorsque cela va à l'encontre de ses propres convictions.
Capitaine méritocratie : « Ah ben ça c'est tout moi tu vois ! »
C'est aussi la vertu qui porte à se montrer vigilant tant envers l'intolérance qu'envers l'intolérable
Capitaine méritocratie : « Ah... moui je... c'est pas clair »
Tolérer ce n'est donc pas accepter tout et n'importe quoi. C'est faire le tri entre ce qu'on peut accepter et ce qui pose problème. Enfin toujours dans l’optique de minimiser les souffrances et maximiser le bonheur bien sur.
Capitaine méritocratie : « Et tu fais comment pour savoir si une chose est tolérable ou non monsieur le dictateur ?
C'est toi qui décide j'imagine. »
Les décisions sont toujours prises pas des gens tu sais. La neutralité n'existe pas à l'échelle humaine comme le répète Antith sans arrêt. Mais on peut se reposer sur la logique du coup quand on sait quelle direction prendre. Une fois qu'on a établi que ce qu'on voulait c'était nuire le moins possible, il est logique que tous les comportements engendrant de la souffrance soit intolérable tandis que tous les autres sont tolérables.
Antith Éthique : « Cesse donc de déverser ta haine envers la neutralité alors que tu verses dans la déontologie et le dogmatisme. Tes règles ne sont que des brides limitant tes possibilités. Ton discours ne vise qu'à semer la confusion dans l'esprit des naïfves. La liberté absolu réside dans l’inaction. «
Fulbert Éthique : Vous avez 4 nouveaux sophismes.
1 procès d'intention. Il n'est pas question de haine ou de volonté de semer la confusion.
2 homme de paille. Il n'est pas question de déontologie. Ici, le moyen n'est pas un principe à respecter en lui même mais juste une méthode efficace pour atteindre un objectif donné.
3 déshonneur par association. en qualifiant de naifves le personnes en accord avec ce discours tu cherches à empêcher la réflexion au profit d'une réaction émotionnelle négative.
4 rupture du lien logique. La liberté n'est pas synonyme de neutralité. Ne rien faire n'est pas être neutre. C'est faire un choix.
Pour résumer tolérer ce qui nuit à autrui est problématique, et ne pas tolérer ce qui ne nuit à personne est problématique.
« Ouais mais ça dépend du contexte quand même »
Ca n'est qu'une question de contexte c'est ce que je dis en fait...
Zetétine : « Attend je peux ? En gros ce qui fait bobo aux autres c'est vilain. Faut pas faire. Aller on parle de libéralisme maintenant ? Siiiil teuu plaiiiit ! »
Alors comme le terme a des définitions différentes selon le domaine et que certaines peuvent même rentrer en opposition, on va commencer par faire le tri. Ce qui va nous intéresser aujourd'hui c'est le libéralisme politique. Mais d'abord distinguons les concepts.
Troll : - Ca ça veut dire dimension lexicale non ?
Troll : - Je m'en fous j'ai mis ma ceinture je suis bon cette fois
Troll : - C'est bon. On peut y aller.
Troll : - Ça marche pas ?
Troll : - Tu devrais pas aller voir
Troll : - pourquoiiiiiiiiii ?!!!!
Libéralisme :
historiquement, le libéralisme est une doctrine de philosophie politique et morale fondée sur la liberté et la reconnaissance de l'individu. Il s'agit de rationaliser et ordonner les relations sociales. Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux naturels précédant toute association, et qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer, et prône la liberté d'expression des individus.
Dans le domaine économique, le libéralisme économique défend notamment l'initiative privée, la libre concurrence et son corollaire l'économie de marché et est ainsi congruent avec le capitalisme. Sur le plan social et politique, le libéralisme politique veut limiter les obligations imposées par le pouvoir étatique et plus généralement le système social, telles que la morale, au profit du libre choix et de l'intérêt de chaque individu indépendamment des autres.
Capitaine méritocratie : « Ah ah ! Tu vois, le libéralisme c'est la liberté ! Chacun fait ce qu'il veut et que les meilleur.e.s gagnent ! Il faut être un battant dans la vie et pas se laisser mener par les autres »
Du coup tout le monde peut réussir ?
Capitaine méritocratie : « Ben oui enfin »
Si tout le monde réussi, alors il n'y a plus ni dominées ni dominant. Donc pas de vainqueur. Ce qui est impossible puisqu'on parle de réussir contre les autres. Est ce que tout le monde peut être PDG, président, lauréat de grandes écoles ?
Capitaine méritocratie : « Tu ne comprends pas ce que je dis... Tout le monde peut réussir mais tout le monde ne réussira pas. Seulement les meilleurs y arriveront. »
Les meilleurs étant celleux qui ont eu le moins de problèmes, le plus de privilèges, accès aux soin, à l'éducation, à des sphères mondaines, qui sont né au bon endroit au bon moment... bref ce qui ont eu les meilleurs facteurs déterminants. Un conditionnement qui les a adapté à faire des choix efficaces pour réussir. A ne pas hésiter à écraser les autres, à profiter de leurs avantages, à prendre de la place... bref ceux qui ont le pouvoir et se le passe de génération en génération.
Il n'y a que 2 types de personnes qui veulent d'un monde pareil : celles qui en tire un avantage
celles qui y ont été conditionné par les premières.
Ces 2emes sont des victimes du système. Pensant que leur échec est de leur fait et que leur soumission aux puissant est juste. On n'échappe pas au système, on en prend conscience et on le détruit.
Les discours visant à culpabiliser les victimes sont irrationnels. Ils ne tiennent pas compte du déterminisme biologique et culturel. Nous n'avons pas le choix d'être ce que nous sommes. Et le libéralisme politique vient semer la confusion dans nos luttes nous laissant croire que nous pouvons nous détacher du système et nous autodéterminer. Il y a des changements institutionnels et personnels à faire mais pas n'importe quand et pas n'importe comment. C'est une question de contexte.
Plus une oppression est culturelle et plus les responsabilités sont individuelles plus il faut changer individuellement, plus une oppression est matérielle et collective plus les changements individuels sont intitules.
Or la pensée libérale propose exactement l'inverse :
- chacun.e peut s’autodéterminer et faire ce qu'iel veut sans tenir compte de l'impact sur le système. En gros on maximise ce qui est du domaine du personnel et on réduit le champ du politique.
Les libéraux instrumentalisent la notion de choix pour occulter le déterminisme et faire accepter le pouvoir et donc le système en place.
Le libéralisme est un poison qui corrompt nos luttes. Accepter son oppression ce n'est pas être libre. Maintenir les stéréotypes par intérêt personnel ce n'est pas lutter. Tenter de faire changer le monde en ne changeant que soi est inefficace. Il faut savoir adapter nos actions à nos possibilité. D'où l'importance de comprendre les notions de pouvoir pour savoir ou il se trouve, de déterminisme pour savoir comment le monde fonctionne, de choix pour ne pas s'illusionner, de tolérance pour savoir vers où aller et de libéralisme pour ne pas se laisser détourner de l'objectif. L'abolition de toute injustice, toute oppression, tout système ne permettant pas le bonheur des individus.
Si vous êtes d'accord avec ça, je vous invite à rejoindre le Projet Méduse.
Zetétine : « Viens tu va voir c'est chouette en plus c'est pour tout le monde sauf les méchants. »
On se retrouve dans 1 mois pour la prochaine chronique
En attendant prenez votre B12
Merci à Néo pour sa confiance ainsi qu’à Bab et Dogbee pour les musiques
je vous dis à bientôt sur la page de Réplique éthique, au détours d’une action ou dans le projet méduse
D’ici là je vous souhaite un bonheur maximal, une souffrance minimale et une lutte efficace.